Dior Croisière 2023, les looks beauté du défilé de Séville

Le rendez-vous sur la Plaza de España après le coucher du soleil. La Dior Croisière 2023 défile sur l'une des places les plus évocatrices non seulement de Séville mais aussi d'Espagne. Au rythme d'un flamenco, les mannequins exhibent leurs beauty looks avec des yeux enduits de noir sur une base candide. Et sous les chapeaux de gaucho, les tresses et les tresses, les arcs et les queues basses et sévères. Hommage à la tradition andalouse.

Dior Cruise 2023, le beauty look inspiré de l'univers du flamenco

Après Athènes, toile de fond de la suggestive Croisière 2022, nous passons à Séville. Berceau du flamenco et de la tauromachie, Maria Grazia Chiuri, directrice artistique de la maison, poursuit son parcours-hommage à Christian Dior.Le fondateur était en effet un amoureux de l'Espagne et, depuis les années 1950, il s'est toujours inspiré de la chaleur de ce pays.

C'est dans ce contexte que la nouvelle collection, marquée par un beauty look dramatique, prend vie. Le noir est la couleur dominante pour un regard intense, comme seuls le flamenco et la tauromachie peuvent l'être.

Appliquée à larges coups de pinceau, la teinte choisie par Peter Philips est un noir plein, vraiment profond, appliqué en insistant sur la paupière mobile supérieure, puis en estompant vers l'extérieur pour souligner la forme des yeux en suivant le bord du chapeau. Deux incontournables du maquillage Philips : le mascara Dior Show pour donner plus de profondeur au regard et la palette 5C Black Bow. Le regard est au centre de la Croisière 2023 et émerge sur une base parfaite, diaphane et gracieuse réalisée avec le Dior Backstage Face and Body, faisant corps avec les lèvres nues grâce au Rouge Dior Satin Finish Balm.

Sous les gauchos, queues basses, cheveux tressés avec nœuds

Un drame pour le maquillage qui se traduit par de la raideur pour les cheveux. Presque sage, le feuillage est sévère et sans fioritures, avec des jabots bas ou des tissages très précis et ordonnés. Il n'y a pas de place pour les éclairs dans ces coiffures.

Un seul détail, le plus féminin de tous : un nœud noir qui maintient tresses et pans, simplement froncé avec la ligne centrale. Des coiffures pratiques, à faire seul et surtout à porter sous le gaucho, le chapeau à larges bords porté par les matadors mais aussi par les gardians.

Une beauté tragique et puissante comme le flamenco dansé par Carmen Amaya, La Capitana, la première danseuse à interpréter tout le drame de la danse andalouse habillée en homme.

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