Mostra de Venise 2021-2022: la marraine d'Anna Foglietta et les autres des 10 dernières années - IODonna

Visage et corpsFestival du film de Venise 2021-2022

C'est désormais un rituel: pieds nus, robe de rêve, eau du rivage, flashs. Touchez pour Anna Foglietta cette année lou le tournage de la marraine dans la lagune, toujours le "baptême" du Festival international du film de Venise, dont La 77e édition est prévue du 2 au 12 septembre 2021-2022.

L'événement qui, par-dessus tout, «est intimement lié à l'évolution du costume national dans un enchevêtrement d’industrie cinématographique, de divertissement, de mode et d’art », écrivait le magazine L’Europeo il y a dix ans. Et que pour la première fois dans l'histoire devra faire face à des distances, des masques et quelques noms internationaux sur le chemin, sans renoncer aux traditions, comme le rôle de la marraine.

Anna Foglietta, marraine (en casque) 2021-2022

L'actrice romaine Anna Foglietta, 41 ans, est la marraine de l'édition 2021-2022: avec votre mini bob désormais allégé par l'été, elle a déjà décrété quelle coupe d'automne copier, immédiatement.

Sera-t-elle un menant la soirée d'ouverture et celle de la cérémonie de remise des prix, pour l'arrivée, quant à elle, il s'est déjà concentré sur un style less is more: vagues suggérées dans les cheveux, brillant à lèvres rose, peau dorée.

Un "code" précis de la beauté

À l'exception de Alessandro Borghi et Michele Riondino, sponsors des éditions 2021-2022 et 2021-2022, le «visage de Venise» a toujours été une femme: depuis des années, ils ont passé le relais du talent, de la personnalité et de la beauté évidente. Toujours, avec le recul, cohérent dans l'image avec certains codes esthétiques: naturel, simplicité, authenticité.

«Des femmes pas forcément flashy, jamais audacieuses mais innovantes, porte-parole de concept que la beauté réside dans le respect de l'identité, pour ce que l'on est: aujourd'hui, c'est la vraie innovation. C'est un message qui favorise une féminité consciente, une beauté évidente, essentielle, sans excès », commentait-elle il y a un an Maria Luisa Frisa, Voix italienne de la mode, lors d'un petit-déjeuner chez Armani Beauty, le sponsor officiel de l'exposition, également reconfirmé pour cette édition 2021-2022.

«Shibumi», dirait-on au Japon: c'est le mot qui résume le concept d'esthétique ou bbeauté simple, subtile et discrète, vraie et authentique, réservé et jamais impétueux, à apprécier sous tous ses aspects. Un concept qui, sans aller loin, va aussi de pair avec celui de Italianité (carte commune à toutes les marraines, sauf certaines «naturalisées»), donc beauté rime souvent avec classe et élégance.

Les marraines des dix dernières années

Il suffit de regarder la dernière décennie du tournage inaugural du Festival du Film de Venise avoir confirmation de cette tradition: en 2009, était la beauté méditerranéenne de Maria Grazia Cucinotta, cheveux noirs lâches et décolleté façon Vénus pour lancer le tour éclair dans le lagon en animalier Roberto Cavalli.

Super chic, Isabella Ragonese dans 2010 inauguré en chemise, longuette et cravate et vagues à la Farrah Fawecett; le témoin dans 2011 Passer au Vittoria Puccini, marraine naturelle aux cheveux ondulés gitans, en blanc Valentino.

Kasia Smutniak, dans 2012, dans un Valentino rose fleuri, elle a choisi un look beauté princier, avec un chignon doux avec de petites mèches insaisissables.

Une apparition de fée, alors, celle de Eva Riccobono dans 2013, toutes les vagues plates blondes éthérées et la robe Armani Privé nude. Sourire éclatant, crop déconstruit et chemise blanche (Alessandro dell’Acqua) pour l’illuminer, Luisa Ranieri, dans 2014, a donné des cours de beauté style chic facile.

Plus gitane aux cheveux ondulés dans le vent, en 2015 enchanté la beauté aux multiples facettes du top model et activiste Elisa Sednaoui, en transparents noirs Alberta Ferretti.

Parmi les plus sophistiqués jamais créés, Sonia Bergamasco, visage 2016, en Giorgio Armani et pieds nus dans l'eau, il anticipe les tendances avec son bob aux vagues moelleuses.

La dernière édition, Alessandra Mastronardi elle a réalisé son rêve d'enfant: «Il y a quelques années, j'ai été invitée à Venise et j'ai emmené ma mère sur le tapis rouge (ses yeux pétillaient comme un enfant!). «Peut-être qu'un jour tu seras la marraine», dit-il. Et moi: «Oui, bien sûr…» »avait-il dit à un.

Et maintenant, Anna Foglietta: en attendant de vous voir, dans la galerie, voici une revue de la look beauté pour les "baptêmes" iconiques dans la lagune des marraines des dix dernières années.

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