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Des journées courtes avec peu de lumière, de bonnes intentions qui peinent déjà à se mettre en pratique, des vacances à venir au loin à l'horizon: peu importe comment vous l'appelez «SAD», trouble affectif saisonnier, ou, blues d'hiver, dépression hivernale, le fait est que la mauvaise humeur, malheureusement, à cette période de l'année est un peu comme un "accessoire" qui va avec tout.
Le troisième lundi de janvier à propos, même une équation pseudo-mathématique l'a établi, c'est pour beaucoup le jour le plus déprimant de l'année: le Lundi bleu, le lundi le plus lourd de l'année. Et quand même tous les bons efforts ne suffisent pas pour s'en débarrasser, il suffit de s'accrocher à de petites choses. Même pas très rationnel, pour sortir de l'impasse. Un parfum, par exemple. Petit geste, mais très puissant. "Vous pouvez résister à tout mais pas à la force du parfum ", a écrit Süskind. Surprenant, en effet, les portes qu'un parfum ouvre dans le cerveau: c'est l'inconscient qui répond, plus puissant que les emails, les engagements, les imprévus, les délais, les surcharges.
Épices crépitants comme une cheminée allumée, qui réchauffent les sens mais aussi un morceau d'âme. Sentiers chauds comme les vents de destinations exotiques, qui se téléportent. Jus pétillant qui brisent toute la glace et touches gourmandes cela rassure. "L'humeur est un fait inconscient et repose sur la sensibilité"Goethe a dit: on ne sait jamais que pour le garder haut, il suffit d'entendre vraiment les bonnes notes …