Bandanas et foulards de créateurs
La renaissance des foulards et des bandanas
Regardant le dernier podium Dior fw 2021-2022 / 21 prendre aussitôt le dejavu avec quelques "monstres sacrés" de beauté di fin des années 60 et 70: Monica Vitti, Virna Lisi, Faye Dunaway, Diane Keaton. C'est la «génération» d'actrices qui a introduit des foulards et des bandanas dans la soi-disant «iconographie de la mode» d'une manière différente des divas des années 50 et 60, voir Grace Kelly, Sophia Loren, Marilyn jouant dans ces centimètres carrés de précieux soies, cache-cache, pour se protéger des éclairs, raréfiés pour la plupart et bien conscients d'être inaccessibles dans le monde. Au tournant des années 68, ce genre d'accessoires a connu une petite grande révolution parallèle à celle qui a eu lieu dans la société, dans un bras stylistique que la mode a toujours enseigné. Ils font partie d'un un autre type de robe, celle féministe-féministe, redécouvrant un stylistique indispensable pour "Têtes" libres, anticonformistes, indépendantes et de caractère. Doit avoir dans la culture hippie, pour les groupies, pour les premières filles de fleurs dans et hors des cinémas.
Ce n'est donc pas trop surprenant que les bandanas et les foulards sont courants aujourd'hui, à l'ère post-féministe: ils reviennent fasciner avec un intention tellement décorative, mais aussi - et peut-être surtout - avec la même humeur de l'époque, c'est-à-dire comme éléments de distinction. Une curiosité: dans la culture japonaise, les bandes hachimaki enroulées autour de la tête symbolisent la détermination. Les jeunes filles, les nouveaux lanceurs de tendances et même «son entité» Instagram comme eux portez-les simplement pour vous sentir spécial, non homologué, différent et recherché. Que ce soit dans le style de la rue, parmi les rouleaux des flux d'images sociales, en plein marathon du défilé du mois de la mode.
XL'évolution des bandeaux et bandeaux
Quelqu'un viendran esprit mères, grands-mères et tantes - facile, par exemple, en regardant le versions tricot et tricot style mamie proposées par Dolce et Gabbana -. Pour d'autres, une autre sorte de souvenir d'enfance: on dit que le plus célèbre de l'imaginaire collectif est celui de Alice (au pays des merveilles), par contre identique à celui vu sur le podium Giambattista Valli.
Parlons de la bandeau, ou visière si vous préférez, qui connaît un nouveau printemps. Maxi, précieux, en velours, satin et soie, revient donner des maux de tête aux fashionistas: très créateurs, il faut absolument l'avoir. Comme les versions à couronne rigide et verticale en plexi du cyber princesse par Prada, par exemple. Ou, le roman qui regarde vers l'avenir de Fendi: une réinterprétation anti-gravité du serre-tête qui embrasse les cultures sculpturales, mais du bas de la nuque. Tout à essayer.